LA FABRIQUE DU SABIR
La Fabrique du Sabir, ce sont des propositions pluridisciplinaires qui questionnent notre rapport aux langues et au langage, qui décloisonnent, valorisent et célèbrent la porosité de nos répertoires.
Ils s'adressent à des adultes et des enfants, peuvent durer deux heures ou une semaine, convoquent du son, des images, des livres pour provoquer la discussion et débouchent parfois sur des expos, des podcasts ou des fanzines que l'on fabrique ensemble. Air Sabir conçoit aussi des formation pour les personnes qui oeuvrent dans le milieu socio-culturel, profs, services civiques, animateurices, etc.
Vous voulez organiser un atelier dans votre structure ? Contactez-nous pour plus d'info !

NOS LANGAGES, NOS BAGAGES
Les participant.es sont invité.es à échanger et réfléchir autour de leurs pratiques langagières et à les mettre en dessin : les langues qu'on parle, celles qu'on aime écouter, celles qui nous touchent, qu'on voudraient apprendre, qui nous attirent ou réveillent nos souvenirs. Les portraits réalisés peuvent ensuite être affichés pour une exposition temporaire ou collés sur les murs du quartier, pour donner aussi aux autres l’idée que tout ce qu’on parle mérite d’être entendu, vu, et écouté.

RADIOPHONIES
Quoi de mieux que des oreilles pour savourer les langues qu’on aime ? La radio s’invite dans les ateliers d’Air Sabir pour donner à entendre la mélodie de nos langues et de nos accents, mais aussi les parlers des autres ou du quartier.
ÉCOUTER -> les sabirs de bernard dubois, une exploration collective des langues de Belsunce, deux épisodes fabriqués avec le groupe des 8-11 du CCO.

CARTOGRAPHIES
Les langues font partie de l’intime, mais aussi du territoire. Lors d’une balade dans le quartier, on part à la cueillette des langues qui se parlent dans les rues, et on en dresse une cartographie sensible et collective

VOIX THÉÂTRE & CHANT
Des ateliers menés par Léa Malvina Noygues permettent aux participant.es d’explorer aussi le lien entre la langue, le corps et la voix, de partager les chansons de leur répertoire et de désacraliser la maîtrise des langues : place au yaourt, aux langues que l’on s’invente, à celles de que l’on fredonne et aux chansons qui rassemblent. Ce parcours peut se terminer par un karaoké !